Face à face
avec la toile (trop) blanche
sur fond tendu /mouillé, à
grand renfort de traits.
Fusain, craie noire,
craie grasse.
Parfois deux mots entendus qui font image
et parfois rien.
Je commence une histoire dont je ne
connais pas l’issue, réduis la distance qui me sépare du support à peindre. Immersion garantie.
Ce faisant je
désapprends, ouvre la porte des inconscients et neutralise le petit
censeur.
Mon existence
comme ma peinture
est une suite de mise en chantiers.
Ce que je vois du
monde : jeux, rituels et tentatives de rapprochements.